Chez MJY Consulting, Mars c’est le mois de la motivation et de l’inspiration professionnelle, celui où l’équipe décide des orientations à venir. Celui où on espère plus que les autres mois de l’année, travailler à être meilleurs dans ce que nous faisons.

Tout au long du mois, nous vous présenterons des profils que nous estimons inspirants, enthousiasmants, motivants. Tant par leur parcours que leurs actions, nos invités sont des ‘role model’. De véritables sources d’inspiration, de détermination et d’implication au travail. Si ce n’est déjà le cas, je vous invite à faire un tour sur leurs profils et à les suivre pour des doses quotidiennes de remonte moral, et boost vitaminé (vous nous remercierez plus tard).

Cette semaine, nous continuons la série « Autour du 8 mars » avec des ‘role model’ qui avancent avec détermination dans leur vie. Polyglottes, actives, motivantes et inspirantes, notre panel du jour nous fera voyager sans visa ni titre de transport.

C’est parti pour de nouveaux profils !

Nous avons découvert Stéphie-Rose en nous intéressant à l’initiative « Je parle bassa 2.0« . Une idée originale, pratique et ludique qui nous a tous séduit dans l’équipe. Application téléchargée et exercices faits avec plus ou moins de succès, nous y avons pris gout. C’est à Abidjan (Côte d’Ivoire), lors des Adicomdays 2018 que nous l’avons enfin rencontré, avec une seconde casquette! Accessible, agréable et patience, nous avons pris énormément de plaisir à échanger avec elle. Nous avons appris avec bonheur la naissance et le développement de l’initiative « Je parle Afrique 2.0″, ainsi que le démarrage de Stéphie en tant qu’animatrice d’une chronique liée aux langues africaines sur la célèbre de radio RFI.

Chroniqueuse radio, auteure, entrepreneurE, Digital manager et experte de la communication, mesdames et messieurs, nous ouvrons ce panel de la semaine avec Stéphie-Rose NYOT NYOT.

Stéphie Rose NYOT NYOT : Je parle bassa 2.0 ; LinkedIn ; twitter

FAISONS CONNAISSANCE


Après avoir vécu cinq années loin de mon cocon familial, entre autres au Ghana, en Angleterre puis au Canada, c’est en 2013 que je suis revenu à Paris pour un stage auprès de l’UNESCO au sein du programme Mémoire du monde et du département éducation pour tous. Durant cette période, je me suis réinstallée au sein de ma famille où l’on s’exprime en bassa. Avec une certaine détresse, j’ai réalisé que j’avais perdu une partie de ma compréhension de la langue bassa par manque d’écoute. En fait, je n’avais jamais su m’exprimer correctement en bassa, mais j’avais toujours compris quelques mots et phrases, alors que là….

Ma question a donc été la suivante : qu’allais-je pouvoir transmettre à mes futurs enfants alors que je perdais une partie de mon identité ?

Ayant toujours été intéressée par la diversité culturelle, les langues du monde et la communication digitale, j’ai décidé, après plusieurs recherches sur la langue, de lancer la page Facebook en 2013 avec l’aide de mes parents et de proposer une méthode ludique, colorée, moderne et participative. Ainsi à travers JPLB 2.0, nous souhaitons démontrer que les langues africaines, à l’instar des langues dites de commerce, méritent aussi d’être parlées. Et nous nous inscrivons non dans une démarche communautaire, mais interculturelle. JPLB 2.0 est aujourd’hui suivi par plus de 12K abonnés, c’est en ce sens après avoir reçu un certain nombre de témoignages nous incitant à développer le projet pour d’autres langues que nous avons lancé Je parle l’Afrique 2.0 (JPLA 2.0). JPLA 2.0 a pour objectif la promotion et la préservation des langues africaines via le digital.

Depuis le début de cette année j’anime d’ailleurs une série hebdomadaire sur RFI, sur l’usage des langues africaines et leur évolution, adaptation au XXIe siècle.

À côté de cela je travaille dans une agence de relation presse et de communication tournée vers l’Afrique, 35°Nord.

QUE PENSEZ-VOUS DE L’ÉGALITÉ HOMMES/FEMMES DANS VOTRE SECTEUR D’ACTIVITÉ ?


Ce n’est pas quelque chose que j’ai personnellement côtoyé et rencontré tout en étant consciente que cela existe

A VOTRE AVIS LA JOURNÉE DU 8 MARS A T-ELLE UN IMPACT SUR LA POSITION DES FEMMES DANS LE MONDE DU TRAVAIL ?


Cette journée a été reconnue par les Nations Unies en 1977, et en France en 1982.
Au cours de ces 40, 30 dernières années des améliorations considérables
ont été observées. Cette journée a permis et permet de sensibiliser le monde sur la place de la femme dans différents domaines et tout simplement au sein de la société.

 A VOTRE AVIS, QUELS SERAIENT LES FREINS ET AVANTAGES DE VOTRE ALTER-EGO DU SEXE OPPOSÉ DANS VOTRE ACTIVITÉ ? 


Je ne sais pas trop, en ce qui me concerne, je fais ce que j’ai à faire en partant du principe que nous sommes tous égaux, hommes et femmes. Mon alter-égo en fera probablement de même. J’ai bien conscience qu’en pratique, ce n’est pas toujours le cas. A mon sens, ce « désavantage » ne consiste pas en un frein mais un stimulateur, sans pour autant être dans la compétition car ma place est tout à fait légitime à celle d’un homme – d’après encore une fois l’éducation que j’ai reçu- .

QUELLE CITATION VOUS MOTIVE LE PLUS DANS VOTRE TRAVAIL ?


Quand on veut, on peut.

SI VOUS AVIEZ UNE BAGUETTE MAGIQUE, QUE CHANGERIEZ-VOUS DANS LE MONDE DU TRAVAIL ?


C’est assez compliqué de répondre à cette question, car il n’existe pas un monde de travail, mais des mondes, avec des façons différentes de travailler. Je pense que l’une des choses les plus importantes est de se sentir valoriser, utile et libre.

DITES-NOUS EN PLUS SUR VOTRE ACTUALITÉ POUR CETTE ANNÉE ET/OU L’ANNÉE À VENIR.


Cette année, j’ai pour objectif de consolider les projets Je parle le
Bassa 2.0
et Je parle l’Afrique 2.0, à travers les réseaux sociaux d’une part mais au-delà notamment via notre chronique hebdomadaire sur RFI. Je serai également présente à plusieurs événement en mars, Salon du Livre, ADICOMDAYS

Nous envisageons également de sortir un nouveau petit livre en Bassa, d’organiser plusieurs éléments au Cameroun et en France autour des langues et d’autres choses que nous vous dévoilerons prochainement. Mais avant tout, nous souhaitons avec la santé et maintenir notre motivation et notre engagement afin de continuer à aller de l’avant.

Mot de l’équipe

Dynamisme, efficacité, polyvalence, Stéphie Rose ose de nouvelles choses, construit sa carrière challenges après challenges. Avec toutes ces expériences, elle semble ne jamais avoir été confrontée à des situations liées à l’égalité homme/femme ou en tout cas ne l’a jamais perçu comme tel. Toutes ses actions tournent autour de la valorisation de choses auxquelles elle croit. Transmettre ses connaissances, travailler à faire connaitre sa culture contribuent à notre sens à mieux comprendre les autres, à poser une (voire plusieurs) pierre(s) sur l’édifice du monde meilleur qu’on essaye tous de construire. Nous sommes fans des initiatives qui permettent de s’ouvrir au monde encore plus de se rendre compte qu’au même titre que l’anglais ou l’espagnol, il est aujourd’hui possible d’apprendre un dialecte d’Afrique (à distance). Après tout, parler plusieurs langues est une véritable valeur ajoutée. Sur un CV ou en voyage, ça pourrait faciliter l’intégration … Nous suivrons ça de très près et espérons que vous aussi!

Social Media Manager, créatrice de bijoux, marketeuse, polyglotte, experte du digital, nous continuons avec Bérénice Kouassi, la jeune dame derrière la marque BE ETHNIC. Rencontrée à Toulouse sur un salon sur lequel elle exposait ses créations, Bérénice est avenante, souriante et met tout de suite à l’aise. Parce qu’elle semble calme et réservée on ne s’imagine pas tout ce qu’elle fait professionnellement. Elle construit sa carrière autour de fronts qui la passionnent : l’univers du digital et la création de bijoux. Dans les deux domaines elle apporte structure et rigueur, des éléments nécessaires pour avancer. Nos échanges suivants ont été orientés business, nous nous sommes mutuellement découverts en termes de compétences et aptitudes. Nous ne désespérons pas de voir aboutir certains projets dans le pipe !


Bérénice KOUASSI : LinkedIn ; Facebook ; BE ETHNIC Instagram

FAISONS CONNAISSANCE


Je suis Bérénice Kouassi social media manager chez Totem Experience. Je suis passionnée par la décoration et je suis aussi créatrice de bijoux, fondatrice de la marque BE ETHNIC.

QUE PENSEZ-VOUS DE L’ÉGALITÉ HOMMES/FEMMES DANS VOTRE SECTEUR D’ACTIVITÉ ?


Le marketing traditionnel est un secteur qui « recrute » en général beaucoup de femmes. J’ai pu le remarquer à travers mes différentes expériences professionnelles et aussi pendant mes études. Le nombre de filles était parfois deux voire trois fois plus élevé pendant les cours.
Pourtant, les hommes, surtout dans le marketing digital sont tout aussi compétents à mon avis que les femmes.

A VOTRE AVIS CETTE JOURNÉE DU 8 MARS A T-ELLE UN IMPACT SUR LA POSITION DES FEMMES DANS LE MONDE DU TRAVAIL ?


Le 8 mars est une journée qui nous rappelle les combats que les femmes ont mené depuis des années pour leurs droits. Je pense qu’elle a un impact mais qui n’est pas suffisant, il faut encore aller au bout des idées et au bout du combat. Dans certaines parties du monde, l’inégalité hommes et femmes est encore plus prégnante qu’en France. C’est une réalité et il faut en prendre compte.

COMMENT LES FEMMES SONT-ELLES INTÉGRÉES DANS LA STRATÉGIE DE DÉVELOPPEMENT DE L’ENTREPRISE POUR LAQUELLE VOUS TRAVAILLEZ ?

Dans mon entreprise heureusement, les compétences ne sont pas évaluées
selon que l’on soit une femme ou un homme. Nous travaillons tous au même titre pour le développement de l’entreprise. On y trouver des femmes : chef de projet, social media manager, directrice … autant de postes pour lesquels on regarde les compétences et non le genre.

A VOTRE AVIS, QUELS SERAIENT LES FREINS ET AVANTAGES DE VOTRE ALTER-EGO DU SEXE OPPOSÉ DANS VOTRE ACTIVITÉ ? 


Je pense qu’il n’y a pas de freins. Je ne fais pas de différence entre travailler avec des hommes ou des femmes. Quel que soit le métier il ne devrait pas avoir de différences surtout à compétences égales.

QUELLE CITATION VOUS MOTIVE LE PLUS DANS VOTRE TRAVAIL ?


Tout ce que vous faites, faites-le de bon cœur, comme pour le Seigneur et non pour des hommes.

SI VOUS AVIEZ UNE BAGUETTE MAGIQUE, QUE CHANGERIEZ-VOUS DANS LE MONDE DU TRAVAIL ?


Je m’attellerai à remettre l’humain au centre de la stratégie d’entreprise. 

DITES-NOUS EN PLUS SUR VOTRE ACTUALITÉ POUR CETTE ANNÉE ET/OU L’ANNÉE À VENIR.


Cette année, toujours en parallèle de mes activités chez Totem Expérience, je compte étoffer davantage l’offre de ma marque de bijoux. Pour en savoir plus je vous invite à me suivre sur Be_ethnic.

Mot d’équipe

Polyvalence organisée! Bérénice arrive à gérer sa vie personnelle et ses sphères professionnelles sans trop de mal. Sa marque prend de l’ampleur et on lui souhaite le plus grand succès. Nous suivrons cette progression de très près (comme toutes les autres), on trouvera peut-être nos cadeaux de noël en avance dans la nouvelle collection. Sa vision de l’égalité homme/femme dans son secteur rejoint celle de nombreuses femmes. En effet, le marketing est majoritairement représenté par des femmes en entreprise (les postes de commerciaux étant majoritairement occupés par des hommes). Par choix ou par ‘désintérêt’ des hommes ? merci pour le sujet de réflexion! On me manquera pas de poser la question aux recruteurs à l’occasion…

Une tête bien faite et bien pleine, Christine Rimbert est une toulousaine qui gagne à être connue. Nous l’avion rencontré la toute première fois pour un événement destiné à valoriser l’art et la culture africaine dans la ville de Toulouse. Son écharpe de première dauphine Miss Afrique Midi-Pyrénées et elle avaient fait vive impression auprès des convives. Au fil du temps nous avons découvert une jeune femme très affairée, occupée par son travail d’ingénieure textile, (très) souvent en déplacements. Christine est si calme que nous avions des doutes sur l’exécution de l’activité qu’elle mène en parallèle, prof de ZUMBA. Les retours de participants aux cours ont fini de nous convaincre. Déterminée et concentrée, Christine est aussi la preuve que « Derrière un grand homme se cache une femme encore plus grande ». Nous en ferons sans doute l’expérience dans les mois, années à venir. En attendant, place à l’interview.

Christine RIMBERT : LinkedIn ;

FAISONS CONNAISSANCE

Je m’appelle Christine, je suis une jeune femme d’une trentaine d’année originaire de la Martinique. Je suis la dernière d’une famille de 5 enfants, j’ai reçu une éducation chrétienne catholique, je suis aujourd’hui mariée et j’espère fonder une famille dans laquelle je transmettrai les valeurs qui sont pour importantes à mes yeux : Le respect de l’autre, le partage de l’amour et l’entraide. Je suis ingénieure Textile, instructeur de ZUMBA Fitnesss et je travaille également dans la restauration.

QUE PENSEZ-VOUS DE L’ÉGALITÉ HOMMES/FEMMES DANS VOTRE SECTEUR D’ACTIVITÉ ?


J’évolue depuis 4 ans en tant que chargée d’affaires textile au sein d’une filiale d’un groupe français, composée majoritairement de femmes et dirigée par une femme. Sur les 4 services de cette filiale, seulement un service est manager par plusieurs femmes (services plus nombreux) et les autres services ont des responsables masculins. 

Mon manager N+1 est une femme et mon N+2 un homme. J’ai constaté depuis mon arrivée un manque de considération de mon manager féminin bien qu’elle ait un rôle technique très important et qu’elle soit un réel support pour mon N+2. En effet, la directrice générale de cette filiale s’adresse très peu à mon N+2 malgré sa position et ses fonctions importantes.

Il m’est difficile de porter un jugement sur l’égalité homme femme au sein de cette entreprise parce que je ne connais pas exactement les raisons pour lesquelles il y a majoritairement des hommes en poste de manager bien que plus de 70% des employées soient des femmes. Mais le constat est bien évident et il existe une réelle problématique sur l’égalité hommes/femmes pour ce qui est des postes et missions confiées. 

A VOTRE AVIS LA JOURNÉE DU 8 MARS A T-ELLE UN IMPACT SUR LA POSITION DES FEMMES DANS LE MONDE DU TRAVAIL ?


Les femmes sont certes mises à l’honneur ce jour à travers des témoignages ou autres mais je ne trouve pas du tout que cela ait un impact sur leur position au travail. C’est un jour de travail comme un autre pour les femmes.

COMMENT LES FEMMES SONT-ELLES INTÉGRÉES DANS LA STRATÉGIE DE DÉVELOPPEMENT DE L’ENTREPRISE POUR LAQUELLE VOUS TRAVAILLEZ ?


Nous avons chaque année une présentation de la stratégie du groupe et une présentation des chiffres de notre filiale. Cette stratégie est toujours présentée par le responsable groupe. La stratégie de notre filiale (dirigée par une femme) n’est jamais clairement présentée, elle découle uniquement de la stratégie groupe, notre directrice générale nous présente bien souvent les chiffres de la filiale.
J’ai donc un doute sur l’intégrité des femmes concernant les grandes décisions stratégique du groupe.

A VOTRE AVIS, QUELS SERAIENT LES FREINS ET AVANTAGES DE VOTRE ALTER-EGO DU SEXE OPPOSÉ DANS VOTRE ACTIVITÉ ? 


Mon alter ego du sexe opposé aurait vite été ennuyé dans mon activité, il aime laissé libre cours à son imagination et je ne pense pas qu’il aurait pu être épanoui. 

SI VOUS AVIEZ UNE BAGUETTE MAGIQUE, QUE CHANGERIEZ-VOUS DANS LE MONDE DU TRAVAIL ?


Si j’avais une baguette magique ferai en sorte que les employeurs soient à l’écoute des problématiques de leurs employés et les intègrent plus dans les décisions stratégiques.

DITES-NOUS EN PLUS SUR VOTRE ACTUALITÉ POUR CETTE ANNÉE ET/OU L’ANNÉE À VENIR.


J’ai pour projet de développer mon activité d’instructeur de ZUMBA en proposant plus de cours. La ZUMBA est pour moi une activité sportive et ludique qui permet aux personnes de se lâcher, oublier ses soucis tout en se dépensant physiquement. J’ai un public majoritairement féminin et à tous mes cours je souhaite leur montrer qu’elles sont toutes spéciales, rayonnantes quelque soit leur niveau de danse, j’essaie de leur transmet beaucoup de joie et d’amour et jusqu’à présent ma mission semble être accomplie car elles en redemandent et ressortent toujours avec le sourire. 

Mot de l’équipe

Voilà qui est dit, nous remercions Christine pour son témoignage qui soulève une question/réflexion peu explorée à notre avis. Nous trouvons intéressant le cas des structures dont les salariés sont majoritairement d’un sexe ou l’autre mais les cadres dirigeants sur sexe opposé. Nous en pensons pas que que cela pose un soucis dans le fonctionnement de la structure mais c’est assez marquant pour se demander si c’est par choix que le sexe opposé ne sollicite pas plus de responsabilité, ou pas manque de compétences… des hypothèses qui à notre sens méritent qu’on s’y attardent un de ces jours.

Quel panel cette semaine! Nous sommes ravis d’avoir leur témoignage et leur retour d’expérience sur le sujet de l’égalité homme/femme. Jusqu’à présent, statistiquement, quasiment la moitié des personnes interrogées ( via interview écrites ou échanges en face à face) disent ne pas être/avoir été confrontées directement ou indirectement aux inégalités au travail. Nous sommes conscients que de base les Hommes (homme/femme) sont égaux en termes de besoins, avantages, traitement, rémunération…. mais nous sommes tout aussi conscients que la réalité suit difficilement la théorie dans ce cadre là. Ça dépend peut-être des secteurs d’activités… à creuser. Merci beaucoup mesdames pour vos contributions. Nous l’évoquions en introduction, vous êtes de véritables ‘role model’ chacune dans vos domaines respectifs. Vous osez et vous vous donnez les moyens, nous par ici, on dit chapeau bas !

Nous retrouverons deux d’entre elles (Stéphie Rose et Bérénice) sur les ADICOMDAYS à Abidjan les 22 et 23 Mars. Si vous êtes dans les parages, n’hésitez pas à nous y rejoindre. Sinon, vous avez tous les liens pour les suivre sur leurs réseaux respectifs (en dessous dans photos)